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Toute la famille retrouve Noyers et sa quiétude… de courte durée. En effet, la candidature de Reine aux élections municipales contre la liste sortante de Robert, le maire, et de Catherine, son adjointe, fait l’effet d’une bombe ! La campagne électorale est brutale et la famille est au bord de l’explosion…

Emoi au village : Catherine a découvert un mystérieux cadavre, abattu dans la forêt ! L'enquête fait chou blanc, jusqu'à ce qu'on découvre que la victime cherchait Jacques, qui clame son innocence. Reine pense avoir tout vu de l'assassinat, mais sa mémoire lui joue des tours...

La section de recherches est une unité spéciale de la gendarmerie nationale, chargée des affaires les plus complexes. Les enlèvements d'enfants, les disparitions, les crimes crapuleux ou sexuels sont le lot quotidien des enquêteurs de cet escadron. A la recherche de témoins, l'équipe est habilitée à étendre ses enquêtes au-delà de nos frontières...
Une jeune femme dénommée Fabienne a été violemment percutée par une voiture sur l'autoroute. La Section de Recherches de Bordeaux découvre rapidement qu'elle a été au préalable mortellement poignardée sur une aire de repos. La grande famille de l'autoroute est passée au crible, et Fabienne s'avère ne pas être l'employée et la mère modèle décrite par ses proches.

Félix a disparu de son centre de colonie de vacances. La Section de recherches constate rapidement qu'il s'agit d'un enlèvement et s'acharne à croire que l'enfant est toujours vivant, d'autant qu'un dangereux délinquant sexuel vient d'être remis en liberté. Le compte à rebours est lancé pour espérer retrouvé Félix, s'il n'est pas déjà mort...

Les braqueurs qui sévissent dans la région depuis quelque temps ont encore frappé en cambriolant une résidence secondaire en présence de ses occupants. Mais cette fois, il semblerait qu'ils aient dérapé. Ils ont sauvagement assassiné leurs victimes. L'enquête sur ce triple meurtre va s'avérer pourtant plus complexe qu'elle n'y paraît pour la Section de recherches. Les gendarmes se demandent s'ils n'ont pas affaire à un assassinat de sang-froid maquillé en homejacking. La réalité s'avérera plus surprenante encore.

Thierry Carrel, tétraplégique, est assassiné à son domicile. Tout porte à croire que c'est un cambriolage qui a mal tourné. La Section de recherches ne s'arrête pas aux apparences et s'intéresse à la personnalité complexe de la victime, véritable tyran depuis son handicap avec sa femme, son fils et son associé. Sans omettre qu'il devenait de plus en plus dépendant de cette prostituée que lui payait sa femme pour subvenir à ses besoins sexuels...

Madame Hubbard, la responsable d'une pension de famille, raconte à Miss Lemon qu'une série de vols a été commise dans son établissement. La liste des objets volés intrigue Poirot : un stéthoscope, une bague en diamants, des ampoules, une boîte de bicarbonate, un sac à dos. Celia Austin, qui fait partie des suspects potentiels, est bientôt retrouvée morte, empoisonnée. Pendant ce temps, Poirot invite Japp à passer quelques jours chez lui, madame Japp s'étant absentée pendant quelque temps. La cohabitation entre les deux hommes s'avère difficile : Japp ne cesse de se plaindre de la chaleur, et ses goûts culinaires diffèrent franchement de ceux de Poirot...

Une fois n'est pas coutume, l'inspecteur en chef Japp vient frapper à la porte d'Hercule Poirot. Il souhaite que celui-ci le seconde dans une enquête difficile concernant le suicide de Barbara Allen, retrouvée morte dans son appartement. Japp n'est guère convaincu par les conclusions de l'enquête et demande son avis au détective. Il lui expose les premiers éléments collectés au terme de son investigation. Ainsi, il semblerait que la victime ait mis volontairement fin à ses jours. Mais, après avoir analysé les différents éléments de l'enquête, Hercule Poirot conforte Japp dans son incertitude : il pense que la jeune femme a été assassinée...

Un célèbre industriel raconte à Poirot un cauchemar récurrent dans lequel il se suicide. L'homme meurt le lendemain dans les mêmes circonstances.

A la veille de la Seconde Guerre mondiale, un avion top-secret est en train d'être testé par les Alliés. Il apparaît rapidement que le «Mayfield Kestrel» est techniquement supérieur au «Messerschmitt» allemand. Il est clair qu'il aura un poids non négligeable dans la balance des forces en présence. Mais son constructeur trouve l'appui financier du gouvernement britannique largement insuffisant. Hercule Poirot reçoit un appel de la femme du constructeur, lady Mayfield, qui lui annonce que la sécurité nationale est en danger. En effet, son mari serait tombé en disgrâce auprès des autorités à cause d'une rumeur d'espionnage incriminant des agents japonais. Poirot accepte d'intervenir...

Poirot s'ennuie. Pour lui changer les idées, Hastings l'invite au théâtre. De retour chez lui, le détective apprend qu'une locataire de l'immeuble a égaré ses clefs et que deux de ses amis ont utilisé un monte-charge pour s'introduire dans son appartement. Ce faisant, ils se sont trompés d'étage et ont découvert dans l'une des pièces le cadavre de Mme Grant.

Monsieur Shaw, l'un des deux directeurs de la Scottish Bank, a failli être tué par un automobiliste alors qu'il se rendait à son travail. Son associé, monsieur Vavasour, est persuadé que Shaw a fait l'objet d'une tentative de meurtre. Ce dernier ne s'apprêtait-il pas à embarquer pour New York avec un million de dollars dans ses bagages ? L'incontournable Hercule Poirot est appelé à la rescousse.

Ce programme court montre l’étendue des actions des Restos du Cœur sur tout le territoire et le rôle des bénévoles sur le terrain.

Un homme en tenue de bagnard est retrouvé mort sur la plage de la Citadelle. Démarre alors pour Vincent Pelletier une enquête aussi étrange que délicate, la victime étant un ami proche du procureur Clergeau en charge de l’affaire. Par ailleurs, Vincent est perturbé par la venue sur l’Ile de sa demi-sœur Margaux, décidée à prouver l’innocence de leur père incarcéré à la prison de Saint-Martin-de-Ré pour viol et meurtre. Contrairement à Margaux, Vincent est convaincu que leur père est coupable et a coupé toute relation avec lui. Deux intrigues que 77 années séparent… mais dont les résolutions se croisent et s’entremêlent.

Lorsque qu’un homme d’affaires rochelais est retrouvé pendu dans la tour St-Nicolas, la lettre « A » comme Avarice tracée au sang sur son front, la ville croit retourner au pire temps de son histoire, terreau sanglant de la légende des 7 moines, des catholiques exécutés par les forces protestantes rochelaises au XVIIe siècle. Depuis, cette malédiction incarne la main du jugement dernier sur Terre ou plutôt dans la région de La Rochelle…
C’est le capitaine Raphaël Weiss qui est chargé de l’affaire sous les ordres de sa fille la Cdt Justine Balmont, venue spécialement de Bordeaux, après deux années de silence et vingt années de non-dits.
Cette enquête à tiroirs va tendre encore les relations entre Justine et Raphaël surtout lorsque la jeune femme va découvrir les secrets de la vie de son père et notamment sa part d’ombre qui pourrait bien avoir fait de lui un assassin…

Le cadavre d’un homme est retrouvé sur les marches du chemin du pénitent à Rocamadour. Avant de le tuer, on l’a manifestement forcé à faire un pèlerinage expiatoire comme au Moyen Âge : gravir à genoux les 216 marches de l’escalier... Mais quel péché a-t-il pu commettre pour mériter une telle sentence ? Et pourquoi a-t-on enlevé sa petite fille de huit ans ? A quelques jours de sa retraite, le Commandant Sophie Lacaze (Clémentine Célarié) doit faire équipe avec son remplaçant, le Commandant Alexandre Delcroix (Grégori Derangère) pour retrouver la petite Chloé et élucider le mystère qui entoure cette enquête…

Etienne Ronsard, chirurgien humanitaire, arrive à Colmar, où il espère découvrir les circonstances de la mort de son fils Gilles, chef de brigade de la Crim' de la ville. Dès son arrivée, Etienne découvre le cadavre d'un homme affublé d'un costume d'inspiration médiévale. Anaïs Lacombe, nouvelle chef de la brigade, interroge Etienne en tant que témoin. Elle découvre son identité avec effroi : en effet, elle est convaincue que Gilles est responsable de la mort de son fiancé, lui aussi membre de la brigade, car il conduisait sous l'emprise de stupéfiants lors de l'accident qui leur a coûté la vie. Bien qu'en froid avec son fils depuis des années, Etienne ne peut croire aux conclusions de l'enquête. Il en est convaincu : son fils n'était pas drogué. Il tente de convaincre Anaïs de rouvrir le dossier concernant l'accident...

Dans les années 50, la prison de Pont-l’Evêque fut surnommée la « Joyeuse prison ». A cette époque, elle était devenue une sorte de prison folklorique sous la direction d’un gardien-chef qui préférait être aimé de ses détenus plutôt que d’être craint. Les prisonniers utilisaient alors librement le téléphone, tenaient les comptes, recevaient petites amies et épouses, s’offraient gueuletons et permissions de jour comme de nuit, s’auto-délivraient des certificats de bonne moralité. En mémoire de cette histoire, le lieutenant de gendarmerie Julien Roussel, président de l’association « Joyeuse Prison », a organisé une fête dans l’ancienne prison de Pont L’Evêque pour nouer un dialogue entre le public, d’anciens détenus et le personnel pénitencier. Tous les invités sont déguisés comme dans les années 50, quand la prison était un lieu convivial et festif. Mais alors que la fête bat son plein, un homme vêtu d’une vieille tenue de prisonnier est retrouvé pendu dans la crypte de la prison. La victime n’est autre que le juge Daniel, 68 ans, héritier d’une grande famille de Pont-l’Evêque… Deux frères, que tout semble opposer, s’emparent de l’enquête.

Hercule Poirot dîne dans son restaurant londonien préféré, en compagnie de son ami dentiste. Alors qu'ils conversent joyeusement des habitudes et petites manies des gens, un monsieur d'un certain âge capte soudain toute l'attention de Poirot. L'homme, un vieil habitué du restaurant, vient de demander un plat qu'il n'avait jamais commandé jusque-là. Une excentricité que ne manque pas de remarquer le détective belge. Quelque temps plus tard, alors que Poirot est en consultation chez son dentiste, on lui apprend que le vieux monsieur a été retrouvé mort chez lui, après s'être brisé la nuque...

Poirot parie avec l'inspecteur James Japp qu'il peut résoudre la mystérieuse disparition d'un banquier sans quitter son appartement.