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Hercule Poirot enquête sur l’assassinat d’un médecin, John Christow. Tué par balles, l’homme est retrouvé au bord de la piscine dans la propriété du Vallon où il passait le week-end en compagnie de son épouse. En arrivant sur les lieux du crime, Hercule Poirot constate que les acteurs de ce drame semblent jouer une pièce de théâtre. Le détective belge soupçonne alors Gerda, l’épouse du médecin, qui avait plusieurs raisons d’être jalouse...

Violette Duval, célèbre cantatrice, est retrouvée morte au volant de sa voiture dans un ravin, sur la haute corniche. Tout laisse penser à un suicide. Alors que la presse s’empare de l’affaire, la Section de recherches est sous pression… Pourquoi cette jeune mère, au sommet de sa carrière, a-t-elle mis fin à ses jours ? Et si on avait maquillé sa mort ? La vie de la diva n’est pas ce qu’elle paraît être. Tout est faux, masque et faux semblants.

Un homme quitte sa femme - quoi de plus banal en somme ? - pour s’offrir une autre vie. Mais une existence qui ne colle pas au personnage. Quel a été le déclic ? Pourquoi ? Personne ne comprend… sauf qu’il a payé de sa vie son changement.

Un enterrement de vie de garçon qui tourne au cauchemar. Une farce qui se termine de manière dramatique. Thomas, le futur marié, se réveille enfermé dans un cercueil et l’auteur de la plaisanterie macabre, le seul qui sait où est caché le cercueil, gît dans une mare de sang… Il faut retrouver Thomas car il y a peu d’air dans un cercueil et trouver le coupable du meurtre. La SR est sur tous les fronts à la fois.

Une fusillade éclate au CHU de Cannes. Franck Mercoeur, dangereux serial killer, parvient à s’échapper. C’est Bernier qui avait réussi à coincer Mercoeur il y a quelques années… Alors que l’équipe tente de localiser le fugitif, Bernier est introuvable. Son voilier dérive aux larges des côtes. Bernier a-t-il été enlevé par Mercoeur ?

L’adjudant Myriam Jacquemin s’effondre en pleine rue, devant son domicile, victime d'une crise cardiaque foudroyante. La SR débarque en pleines funérailles et prend possession du corps ! Stupeur des proches. Bernier leur tend une lettre de Myriam écrite juste avant sa mort : «Piacci m’a tuée». Myriam, dépressive et en arrêt maladie, avait-elle des bouffées délirantes ou, au contraire, avait-elle raison ?

En plein dimanche, Laurent Pastoré quitte sa femme et ses enfants pour un rendez-vous de travail. Quelques heures plus tard, il est retrouvé à moitié nu dans la suite d’un grand hôtel, étranglé ! S'agit-il d'un jeu sexuel qui a mal tourné ? D'un rime passionnel ? Le jeune père de famille cachait incontestablement une double vie. Pourtant, tout ramène à son entreprise, Cocoon, start-up florissante vantant bien-être et sérénité. Quel est le lien ?

Evian, sur les bords du lac Léman. A trois jours du début du festival des Flottins, grande fête populaire de la ville, un homme d'affaires suisse est retrouvé noyé. Son corps est lesté par une sculpture de Flottins, qui symbolise un être fantastique.
Alors que la légende locale veut que ces Flottins aient dans le passé sauvé certains habitants d'Evian de la noyade, le meurtrier use de ce folklore pour tuer… L'origine de la victime force le gendarme français en charge de l'enquête, Louis Jolly, à faire équipe avec Sandrine Zermatten, une policière suisse. Une course contre la montre s'engage avec le tueur tandis que Louis comprend peu à peu que la présence à ses côtés de Sandrine ne relève pas seulement du hasard…

La paisible commune d’Etretat vit sereinement jusqu’au jour où Gilbert Maréchal, un notable local à la très bonne réputation tombe du haut des célèbres falaises. La police retrouve une lettre qui laisse dans un premier temps penser qu’il s’est donné la mort. Pour élucider cette affaire, un duo policiers chic et choc est obligé de cohabiter : Karine, la plantureuse et inexpérimentée gendarme locale, et Victor, un vieux loup au caractère bien trempé. Si leurs méthodes et leurs caractères opposés font d’abord des étincelles, leur conclusions sont les mêmes : il ne peut s’agir d’un suicide. En effet, la victime, fervent croyant, vivait pieusement en suivant les préceptes de la Bible selon lesquels le suicide est un péché. Deux pistes sont alors particulièrement suivies par les enquêteurs : celle du règlement de comptes familial entre le fils adoptif héritier de la fortune de son père et la fratrie du défunt d’un côté, et celle qui mène à la fondation de l’Abbaye de Valmont où la victime investissait beaucoup de son temps et de sa fortune de l’autre. Alors, meurtre familial ou crime ésotérique ? La vérité se situe peut-être entre les deux.

Le corps d’une femme, la cinquantaine, est retrouvé dans un petit square. Originaire de Lyon, elle logeait depuis 5 jours dans un petit hôtel de Marseille. Cette grand-mère était en fait à la recherche de sa petite fille, une adolescente perturbée et aux mauvaises fréquentations, disparue depuis plusieurs semaines. Pour comprendre, Boris et Constance se mettent à la recherche de l’adolescente.

Le corps d’Éric Duval, commandant de la gendarmerie d’Aubagne est retrouvé sans vie. La veille, il fêtait son proche départ à la retraite et la passation à sa fille qui prend sa suite à la gendarmerie. Mais qui peut vouloir la mort d’un homme à priori respecté de tous ? Les juges vont devoir composer avec la fille d’Éric Duval, nouvellement à la tête de la gendarmerie pour trouver le coupable. L’enquête va les mener à déterrer un lourd secret de famille…

Une jeune masseuse, employée d’un élégant hôtel-spa de luxe est retrouvée morte sur son lieu de travail. C’est le procureur Quiring, lui-même client du spa qui a retrouvé son corps dans le hammam de l’établissement. Constance et Boris découvrent que la jeune femme réalisait depuis plusieurs mois des prestations non déclarées et surtout qu’elle recevait quotidiennement des sms et mails d’insultes de la part d’un mystérieux corbeau…

Jeanne Vernay, une jeune avocate est retrouvée morte assassinée dans son cabinet. La première piste mène les juges vers un client de la victime, qui s’était montré violent et agressif auprès d’elle, quelques jours auparavant. Mais rapidement, Boris et Constance découvrent que Jeanne Vernay montait un dossier contre son précédent employeur, un puissant avocat à la tête d’un cabinet influent et que l’on suspecte d’harcèlement sexuel envers les jeunes avocates.

Lucien Mauville, 70 ans, a été retrouvé mort chez lui, ligoté sur une chaise dans le sous-sol de son pavillon. Le corps porte des traces évidentes de torture. Or, ce retraité sans histoire, vivant dans une maison plus que modeste, ne possède rien. Ses comptes en banque sont vides : que cherchaient donc ses tortionnaires… ?